[ Aujourd’hui dans ResMusica ]
On peut aussi considérer ce spectacle comme l’un des plus intimes du chorégraphe français, car il se livre comme rarement dans deux solos météorites. En noir, petit bonnet et lunettes fines, il ressuscite avec ses petits pas New York et les années Merce Cunningham. Égrenant les anecdotes ou récitant des poèmes dada, il est véritablement touchant.