[ Aujourd’hui dans Figaro ]
Les trois « events » font vingt minutes chacun. Les dix danseurs s’y lancent dans des costumes moulés serrés, académiques, shorts ou maillots, qui ne refusent ni les strass ni la transparence. Ils habitent le mouvement avec un élan irrépressible (…). Le dessin chorégraphique est à l’avenant, lignes, ronde, tours sur soi, portés. De bonnes recettes pour faire monter la température. Le rock de Burger mène le bal avec ses percussions, ses guitares et ses mots répétés.